Il nous parle de l'impact des transformations urbaines sur la santé des populations.
Il nous parle bien sûr de rénovation urbaine et des "bonnes intentions" pour promouvoir une meilleure qualité de vie.
La réalité du terrain et celle des données épidémiologiques nous invite à cultiver l'humilité et à poursuivre nos travaux et experiences en matière d'urbanisme favorable à la santé.
Les questions que traite le dossier sont les suivantes :
"Comment les transformations urbaines peuvent-elles promouvoir et améliorer la santé des habitant·es cumulant des vulnérabilités ?
"Est-ce que les projets se réclamant d’un urbanisme favorable à la santé tiennent compte des déterminants sociaux de santé et réduisent les inégalités?
"Qu’en dit la population? Comment se mobilise-elle et participe-t-elle à la définition des projets? Comment fait-elle valoir des enjeux relatifs à sa santé? "
Ce sont des sujet complexes sur lesquels nous travaillons avec beaucoup d'énergies au sein de NovaScopia. Bien entendu, il ne faut pas négliger la raréfaction du personnel médical sur les territoires mais il est aujourd'hui crucial de ne plus dissocier la santé d'un territoire du rapport que l'on entretient avec le vivant. Les choix en matière de programmation architecturale, de mobilités et d'alimentation à l'échelle d'un quartier sont alors des facteurs déterminants.Les réponses impliquent une démarche transdisciplinaire dans laquelle les habitants mais aussi les espaces naturels ont leurs mots à dire.
Nous vous souhaitons bonne lecture !
